La triste histoire de Marguerite qui jouait si bien du violon (re-création)

16 octobre 2010 — 7 novembre 2010

D’après David McKee
Théâtre du Loup / re-création

Quelque dix-huit ans après sa création (à la Comédie de Genève, sur invitation de Claude Stratz), le Loup reprend un de ses classiques grand public. Une fable naïve et moderne qui suscite sourires et larmes, toutes générations confondues. On y suit le destin tragique de la très jeune héroïne Marguerite, qui tire des torrents de larmes à tous ceux qui la côtoient, du début à la fin de son histoire.
En effet Marguerite joue du violon. Au début épouvantablement, à la fin divinement. Le résultat est le même : tout le monde pleure, mais pour des raisons opposées. Jusqu’au jour où… Un spectacle plein d’enfants, de masques, de musique originale, de peinture, de danse. Du pur Loup.

Traduction
Celia Green
Mise en scène et adaptation
Collectif du Loup : Rossella Riccaboni, Adrien Barazzone, Eric Jeanmonod
Musique
Jacques Demierre
Décors
Eric Jeanmonod
Lumière
Jean-Philippe Roy, assisté de Michel Guibentif
Réalisation costumes
Mireille Dessingy et 
Verena Dubach

Avec
Adrien Barazzone, Bill Holden, Cornélia Mvunzi, Lola Riccaboni, Rossella Riccaboni, Sandro Rossetti, Nathalie Saudan
et les enfants
Talulla Day, 
Luna Desmeules, 
Matteo Divorne-Brandt, 
Julie Dupanloup, 
Marlène Gautier, 
Lou Golaz, 
Milo Gravat, 
Apolline Gruffel, 
Léonard Piguet, 
Eliot Sidler

Régie de coulisses
Steve Dunand
Chargée de communication
Sibylle Monney
Accueil, secrétariat
Catherine Cuany
Administration
Corinne Müller
Didier Nkebereza
Remerciements
Simon Aeschimann
Gérard Suter, Radio Paradiso (RSR, la Première)

Du 16 octobre au 7 novembre 2010

Bord de scène

Le dossier de presse à télécharger ici.

Presse

(…) Alors en voiture avec Marguerite pour cet irresistible 
voyage aigredoux au pays des êtres humains. 
Au fil de ses péripéties, non seulement l’archet magique 
de l’héroïne triomphera tour à tour de l’ire des gens pressés
(la scène des habitants de l’immeuble est désopilante), de la
voracité des managers de tout poil et de ses propres parents qui
projettent en Marguerite une réussite qui leur fut confisquée, mais 
il fait naître au fil de sa musique un monde fantasmagorique et 
parallèle. Servi par une mise en scène rythmée, à laquelle se 
plient avec autant de talents tous les protagonistes de l’histoire, 
ce spectacle qui fourmille de trouvailles est à classer au rang des 
plus beaux fleurons du théâtre pour enfants.

Serge Bimpage / Tribune de Genève

Une histoire noire et confuse, pour rire et réfléchir, dans laquelle la
musique de Jacques Demierre joue un grand rôle, ainsi que l’humour
surréaliste et la folie douce de la réalisation (…)

Neue Zürcher Zeitung

Oui, La triste histoire de Marguerite est bien une re-création. Une fête de l’intelligence et des sens dont on sort heureux.
Il ne faut rater cette aubaine à aucun prix ! C’est trop bien. Et trop rare à Genève.
Jean-Michel Olivier, écrivain

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